
L'Algérie demande à 12 agents de l'ambassade de France de quitter son territoire sous 48 heures
Cette décision est une réponse à l'arrestation de trois ressortissants algériens en France, a annoncé lundi le chef de la diplomatie française auprès des journalistes.
Jean-Noël Barrot a demandé à Alger de renoncer à ces mesures "sans lien avec la procédure judiciaire en cours" et a menacé d"y répondre immédiatement".

𝐀𝐩𝐩𝐞𝐥 𝐚̀ 𝐢𝐧𝐭𝐞𝐫𝐯𝐞𝐧𝐚𝐧𝐭𝐬 – 𝐂𝐨𝐧𝐟𝐞́𝐫𝐞𝐧𝐜𝐞 𝐂𝐃𝐀 𝐬𝐮𝐫 𝐥𝐚 𝐬𝐚𝐧𝐭𝐞́ & 𝐬𝐞́𝐜𝐮𝐫𝐢𝐭𝐞́ 𝐚𝐮 𝐭𝐫𝐚𝐯𝐚𝐢𝐥
Le Cluster Digital Africa, en partenariat avec le CIRTIC, la Polyclinique FUGA et le CRKD, lance un appel à experts, praticiens, chercheurs, responsables RH et institutionnels pour intervenir lors d’une conférence stratégique sur un enjeu clé du développement en Afrique :
🛡️ Thème :
« Santé & Sécurité au Travail : innovation, prévention et intelligence collective pour un avenir plus sûr »
📅 Date : Jeudi 17 avril 2025
🕒 Heure : 15h GMT
📍 Lieu : En ligne sur SediSpace
🎥 Format : Webconférence gratuite sur inscription
Vous menez une initiative, portez une expertise ou un projet innovant dans ce domaine ?
👉 Partagez votre savoir, contribuez à une réflexion continentale et rejoignez-nous en tant qu’intervenant.
📩 Pour candidater, remplissez le formulaire d'inscription : https://docs.google.com/forms/d/1EwdOcDYD391hLLKWuZoHyGADohoilhSWaT8jXGvwL10/preview
#SantéAuTravail #SécuritéProfessionnelle #InnovationAfricaine #ConférenceDigitale #ClusterDigitalAfrica #CDA #sedispace #rh #bamako #dakar #abidjan #Lagos #Accra #cotonou #conakry #niamey #ouagadougou #lome #usa #Paris #maroc #algerie #Tunisie #Mali #senegal #cotedivoire #benin #guinea #niger #burkinafaso #togo #prevention #AppelÀExpert

Lundi 14 avril 2025
Boualem #Sansal vient de passer sa 148e nuit en détention arbitraire.
Il a été arrêté par la dictature algérienne le 16 novembre 2024 pour ses opinions et condamné, le 27 mars 2025, à 5 ans de prison à l’issue d’une mascarade judiciaire

🔴L’Algerie🇩🇿 ne pouvait pas savoir que le drone abattu appartenait au Mali🇲🇱 selon #Abdelaziz_Medjahed Directeur général de l’institut national d’études statistiques globale d’Algerie🇩🇿. Propos tenus sur Radio Alger🇩🇿 chaîne 3.
Ce vieux con a oublié le communiqué de la défense.

#AESinfo | #Mali 🇲🇱⚡🇩🇿#algerie
"La vérité si je mens" - L'ex-DG de l'ORTM balance sur les "coups tordus" d'Alger !
Dans une charge explosive, l'ancien Directeur Général de l'ORTM, Salif Sanogo, brise le silence et dénonce les manœuvres obscures de l'Algérie dans le dossier malien.
"Mali-Algérie : la vérité si je mens", Sanogo remet en question le rôle de médiateur d'Alger, le qualifiant de "spécialiste des chemins et des coups tordus" dissimulant une stratégie de "manipulation et de déstabilisation".
L'ancien patron de la télévision nationale malienne effectue un "flash-back" historique sur la situation en Algérie dans les années 90, marquée par l'annulation des élections et la montée du terrorisme. Il accuse ensuite Alger d'avoir orchestré un déplacement des groupes terroristes du sud algérien vers le nord du Mali, notamment dans la région de Kidal, où Mokhtar Belmokhtar a prospéré.
Sanogo affirme que l'Algérie a toujours entretenu des "liens privilégiés" avec ces terroristes et certains groupes rebelles maliens, nourrissant un "dessein inavouable".
L'affaire du drone abattu révèle, selon lui, l'"irritation" d'Alger face à la perte de son influence au Mali depuis la fin de l'accord d'Alger et la promotion d'un dialogue inter-maliens. Il interroge le silence d'Alger quant à d'éventuelles preuves de violations de son espace aérien et suggère que le pays nourrit le rêve d'une "autonomie" du nord du Mali, à l'image de sa position sur le Sahara occidental.
"Le ver est dans le fruit et de ce fruit, le Mali n’en mangera point", conclut Salif Sanogo, dans une dénonciation sans équivoque des agissements algériens.

#AESinfo | #AES 🇧🇫🇲🇱🇳🇪⚡🇩🇿#algerie
L’Algérie face à la rue : Le parrain du terrorisme sahélien hué de Paris à Tombouctou
Le rideau tombe sur l’hypocrisie algérienne, et cette fois, ce sont les peuples qui sifflent la fin de la comédie.
Ce samedi 12 avril, des milliers de manifestants ont envahi les rues de Paris, Bamako, Gao, Tombouctou, Ménaka et Kayes pour dénoncer avec force l’acte de guerre commis par l’Algérie, suite à l’abattage délibéré d’un drone malien opérant dans le cadre d’opérations antiterroristes.
Entre slogans hostiles, pancartes ironiques et chants patriotiques, les foules ont exigé une enquête internationale et une condamnation claire de l’ingérence permanente d’Alger dans les affaires intérieures du Mali.
Mais au-delà du drone, c’est tout un système de duplicité algérienne qui est visé. Les protestataires n’ont pas mâché leurs mots : “État complice du terrorisme”, “mafia militaro-diplomatique”, “république protectrice d’Iyad Ag Ghali”, pouvait-on lire sur les banderoles.
Car il est désormais notoire que l’Algérie, pendant qu’elle se pavane dans les salons diplomatiques et s’offusque à coup de communiqués, héberge et protège les figures centrales du terrorisme sahélien , un jeu dangereux qui a coûté la vie à des milliers de civils et soldats dans la région.
Mais l’heure du silence est révolue. Les États de l’Alliance des États du Sahel (AES) affichent une détermination sans faille. Ni les intimidations aériennes ni les gesticulations diplomatiques ne freineront la purge du Sahel de ses prédateurs, même s’ils dorment à l’ombre du DRS algérien.
Et à ceux qui voient dans ce bras de fer une simple crise passagère, les manifestants répondent : “Ce n’est plus un différend, c’est une rupture.” Une rupture entre les peuples du Sahel, qui veulent la paix, et une Algérie engluée dans ses propres contradictions, incapable de choisir entre la respectabilité régionale et ses liens toxiques avec les seigneurs de la guerre.
Aboubacar Ouedraogo - AESinfo

𝐔𝐧𝐞 𝐀𝐟𝐫𝐢𝐪𝐮𝐞 𝐪𝐮𝐢 𝐛𝐨𝐮𝐠𝐞, 𝐪𝐮𝐢 𝐢𝐧𝐧𝐨𝐯𝐞, 𝐪𝐮𝐢 𝐜𝐨𝐥𝐥𝐚𝐛𝐨𝐫𝐞.
Sur SediSpace, les talents africains se connectent, partagent des idées, et bâtissent ensemble un avenir numérique solide.
Discussions, projets, collaborations, feedbacks en temps réel…
Ici, chaque interaction compte. Chaque voix construit.
📱 Télécharge SediSpace sur App Store & Play Store et entre dans le cercle des bâtisseurs du continent.
#sedispace #afriquedigitale #InnovationCollaborative #RéseauSocialAfricain #SmartAfrica #TechForGood #ClusterDigitalAfrica #bamako #dakar #abidjan #Lagos #Accra #cotonou #conakry #niamey #ouagadougou #lome #usa #Paris #algerie #maroc
#Mali #senegal #cotedivoire #Ghana #benin #guinea #niger #burkinafaso #togo

🇩🇿 Il est désormais clair pour la communauté internationale que l’Algérie est l’architecte du terrorisme dans la région africaine.
Derrière un discours officiel de paix, #alger conçoit et alimente les réseaux terroristes pour servir ses intérêts géopolitiques.

Le Mali n'a aucun autre choix que d'aller au bout de sa logique de dénonciation du rôle trouble de l'Algérie dans le #terrorisme au #Mali. Si les terroristes parviennent encore à échapper au rouleau compresseur des FAMa, c'est parce qu'ils disposent clairement d'une ou de plusieurs bases arrières situées en dehors de l'espace #AES, visiblement en #algerie.
C'est de notoriété publique pour la plupart des services de renseignement du monde qu'Alger entretient des liens avec les groupes terroristes. Ce n'est plus acceptable pour la sous-région. Que le Mali ose le dire officiellement est, non seulement, extraordinaire mais également un signe de grande confiance en soi de l'Etat du Mali.
Tous ceux qui luttent contre le terrorisme dans le monde doivent entendre le Mali et comprendre que ces groupes sont totalement isolés. Il est encore temps pour Alger de les lâcher ou de choisir de détériorer définitivement ses relations avec le Mali.
Je m'interroge d'ailleurs sur l'avantage stratégique que ces groupes peuvent encore apporter à l'Algérie. Si c'était pour aider le "ventre mou" à les gérer, Bamako est aujourd'hui prêt à le faire par lui-même. Les mauritaniens se passeraient bien de ces groupes encombrants et pour la plupart dirigés par des algériens.
Au plan international plus large, si c'était pour offrir du renseignement aux forces françaises, elles n'ont plus le moindre soldat engagé au Mali. Les américains, eux, n'ont rien à faire de ces groupes terroristes de niveau subalterne. Il y a plus urgent au Moyen Orient et dans le Pacifique. Quant aux russes, non seulement ils ont intérêt à ce que le Mali se stabilise mais en plus, Moscou n'est, de toute façon, pas du genre à "négocier avec des terroristes". Alors pourquoi aller jusqu'à abattre un de nos drones ?
J'exhorte vivement Alger à lâcher clairement ces groupes terroristes qui constituent une entrave à la stabilité de la sous-région ouest-africaine.
J'encourage nos autorités à maintenir nos frontières, à suivre la voie du droit international, afin que cet acte hostile soit condamné, et à maintenir la cohésion au sein de l'AES.
Je suis d'ailleurs très fier de nos frères de la Confédération qui ont simultanément protesté en rappelant leurs ambassadeurs. C'est un geste sans pareil dans un moment aussi sensible. Merci aux nigériens et aux burkinabè. On ne l'oubliera pas !
A nos compatriotes qui hésitent encore ou qui pensent qu'il y a une autre solution. Rappelez-vous ce que je vous disais au départ de la #MINUSMA, à l'annonce du retrait de la #CEDEAO, à la création de l'AES, au lancement de l'offensive sur #Kidal ou encore à l'officialisation de notre retrait de la #CEDEAO : rien n'est plus comme avant. Le jeu #politique classique n'a plus sa place pour celui qui comprend la profondeur de l'enjeu à relever par le pays. C'est une offensive pour la #survie du Mali qui est en cours. La seule option des autorités est de faire preuve de courage et d'audace. Cette #Transition est LE tournant majeur dont la seule issue imaginable est la réussite.
Vive un #Sahel sans terrorisme!
Vive l'AES! 🇧🇫🇲🇱🇳🇪
Cheick Oumar Diallo - COD


Mali: face à l'Algérie, l'unité nationale profite à la Transition, un dilemme pour l'opposition
➡️ https://go.rfi.fr/HCD


#bamako: Mobilisation devant l’ambassade de l’Algerie au Mali.

#AESinfo | #Mali 🇲🇱⚡🇩🇿#algerie
🚨Exclusif : L’Algérie protège-t-elle Iyad Ag Ghali ? Le drone malien abattu révèle une inquiétante collusion
Alors que les tensions entre le Mali et l’Algérie atteignent un niveau critique après l’abattage d’un drone malien près de Tinzaouatène, une question brûlante émerge : pourquoi l’Algérie a-t-elle choisi ce jour précis pour intercepter un appareil effectuant des missions routinières dans la zone ? Les éléments recueillis suggèrent une manœuvre délibérée pour protéger Iyad Ag Ghali, chef terroriste notoire et cible prioritaire des forces maliennes.
Selon des sources sécuritaires maliennes, le drone abattu le 1er avril 2025 appartenait à l’armée malienne et était déployé dans le cadre d’une mission de renseignement ciblant un regroupement de hauts cadres du JNIM, dont Iyad Ag Ghali en personne. Ce dernier, recherché par la Cour pénale internationale pour crimes contre l’humanité, était localisé près de Tinzaouatène, une zone frontalière stratégique où les groupes terroristes opèrent en toute impunité.
Pourtant, l’Algérie a affirmé avoir abattu l’appareil pour « violation de son espace aérien », sans fournir de preuves tangibles. Une explication qui suscite le doute : ce même type de drone turc Baykar Akıncı, acquis par le Mali en 2024, survole régulièrement la région sans incident. La coïncidence est troublante : pourquoi une interception ce jour-là, alors qu’une opération cruciale visant Ag Ghali était en cours ?
Depuis des années, des rapports confidentiels et des analyses d’experts soulignent les liens troubles entre Iyad Ag Ghali et les services de renseignement algériens. En 2012, des sources onusiennes révélaient déjà que le chef terroriste bénéficiait de soutiens transfrontaliers pour échapper aux frappes internationales. Jeremy Keenan, professeur à la SOAS de Londres, affirmait en 2017 : « Ag Ghali est lié aux services secrets algériens ».
Cette protection supposée expliquerait l’audace persistante du leader du JNIM, qui opère en toute impunité dans le nord du Mali malgré les mandats d’arrêt et les sanctions internationales.
L’Algérie se présente comme un acteur clé contre le terrorisme, mais ses actes contredisent ses déclarations. En décembre 2023, une opération malienne avait abouti à la neutralisation de l’émir terroriste Fagaga dans la même zone de Tinza, sans interférence algérienne. Cette réussite démontre l’efficacité malienne lorsque ses efforts ne sont pas entravés. Pourquoi, alors, avoir ciblé le drone cette fois-ci ?
En abattant un drone au moment précis où Ag Ghali était dans le viseur, l’Algérie a peut-être dévoilé son jeu : préserver l’instabilité régionale pour asseoir son hégémonie.
Le Mali, en dépit des défis sécuritaires, continue de faire preuve de résilience et de détermination dans sa lutte contre les groupes terroristes qui menacent sa stabilité et celle de la région. L'engagement sans faille de ses forces armées témoigne de la volonté du pays de restaurer la paix et la sécurité sur l'ensemble de son territoire.
Malick Doucoure - AESinfo
