"Nous voulons sortir de la dépendance pour pouvoir assurer nous-mêmes la sécurité de nos pays"

Ce message a été formulé par le ministre malien des Affaires étrangères, Abdoulaye Diop 🇲🇱, lors du forum diplomatique d'Antalya, en Turquie.

Retrouvez d'autres idées clés exposées par le ministre dans ce THREAD👇

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#AESinfo | #Mali 🇲🇱⚡🇩🇿#algerie
"La vérité si je mens" - L'ex-DG de l'ORTM balance sur les "coups tordus" d'Alger !

Dans une charge explosive, l'ancien Directeur Général de l'ORTM, Salif Sanogo, brise le silence et dénonce les manœuvres obscures de l'Algérie dans le dossier malien.

"Mali-Algérie : la vérité si je mens", Sanogo remet en question le rôle de médiateur d'Alger, le qualifiant de "spécialiste des chemins et des coups tordus" dissimulant une stratégie de "manipulation et de déstabilisation".

L'ancien patron de la télévision nationale malienne effectue un "flash-back" historique sur la situation en Algérie dans les années 90, marquée par l'annulation des élections et la montée du terrorisme. Il accuse ensuite Alger d'avoir orchestré un déplacement des groupes terroristes du sud algérien vers le nord du Mali, notamment dans la région de Kidal, où Mokhtar Belmokhtar a prospéré.

Sanogo affirme que l'Algérie a toujours entretenu des "liens privilégiés" avec ces terroristes et certains groupes rebelles maliens, nourrissant un "dessein inavouable".

L'affaire du drone abattu révèle, selon lui, l'"irritation" d'Alger face à la perte de son influence au Mali depuis la fin de l'accord d'Alger et la promotion d'un dialogue inter-maliens. Il interroge le silence d'Alger quant à d'éventuelles preuves de violations de son espace aérien et suggère que le pays nourrit le rêve d'une "autonomie" du nord du Mali, à l'image de sa position sur le Sahara occidental.

"Le ver est dans le fruit et de ce fruit, le Mali n’en mangera point", conclut Salif Sanogo, dans une dénonciation sans équivoque des agissements algériens.

#AESinfo | #AES 🇧🇫🇲🇱🇳🇪⚡🇩🇿#algerie
L’Algérie face à la rue : Le parrain du terrorisme sahélien hué de Paris à Tombouctou

Le rideau tombe sur l’hypocrisie algérienne, et cette fois, ce sont les peuples qui sifflent la fin de la comédie.

Ce samedi 12 avril, des milliers de manifestants ont envahi les rues de Paris, Bamako, Gao, Tombouctou, Ménaka et Kayes pour dénoncer avec force l’acte de guerre commis par l’Algérie, suite à l’abattage délibéré d’un drone malien opérant dans le cadre d’opérations antiterroristes.

Entre slogans hostiles, pancartes ironiques et chants patriotiques, les foules ont exigé une enquête internationale et une condamnation claire de l’ingérence permanente d’Alger dans les affaires intérieures du Mali.

Mais au-delà du drone, c’est tout un système de duplicité algérienne qui est visé. Les protestataires n’ont pas mâché leurs mots : “État complice du terrorisme”, “mafia militaro-diplomatique”, “république protectrice d’Iyad Ag Ghali”, pouvait-on lire sur les banderoles.

Car il est désormais notoire que l’Algérie, pendant qu’elle se pavane dans les salons diplomatiques et s’offusque à coup de communiqués, héberge et protège les figures centrales du terrorisme sahélien , un jeu dangereux qui a coûté la vie à des milliers de civils et soldats dans la région.

Mais l’heure du silence est révolue. Les États de l’Alliance des États du Sahel (AES) affichent une détermination sans faille. Ni les intimidations aériennes ni les gesticulations diplomatiques ne freineront la purge du Sahel de ses prédateurs, même s’ils dorment à l’ombre du DRS algérien.

Et à ceux qui voient dans ce bras de fer une simple crise passagère, les manifestants répondent : “Ce n’est plus un différend, c’est une rupture.” Une rupture entre les peuples du Sahel, qui veulent la paix, et une Algérie engluée dans ses propres contradictions, incapable de choisir entre la respectabilité régionale et ses liens toxiques avec les seigneurs de la guerre.

Aboubacar Ouedraogo - AESinfo

#AESinfo | #niger 🇳🇪
Douze terroristes neutralisés et un important stock de ravitaillement saisi par l'armée nigérienne.

L'armée nigérienne a annoncé un succès significatif dans la lutte contre le terrorisme dans la région de Diffa. Le 10 avril, suite à une attaque armée sur le village de Jagada, une intervention rapide d'une patrouille mixte a permis la capture de douze (12) terroristes responsables de pillages et d'extorsion. L'opération a également abouti à la saisie de deux fusils AK-47 et de leurs chargeurs, ainsi qu'au secours de deux villageois blessés qui ont été évacués pour recevoir des soins.

Parallèlement, une patrouille de sécurisation au marché central de Diffa a conduit à l'arrestation de deux individus identifiés comme des "ravitailleurs actifs" pour l'État islamique en Afrique de l'Ouest. Cette opération a permis la saisie de plusieurs tonnes de vivres et divers équipements destinés aux groupes terroristes.

L'armée a renforcé la sécurité autour de Jagada avec le déploiement d'une "patrouille conjointe" pour prévenir toute représailles.

Bulletin FAN

#AESinfo | #Mali 🇲🇱⚡🇩🇿#algerie
🚨Exclusif : L’Algérie protège-t-elle Iyad Ag Ghali ? Le drone malien abattu révèle une inquiétante collusion

Alors que les tensions entre le Mali et l’Algérie atteignent un niveau critique après l’abattage d’un drone malien près de Tinzaouatène, une question brûlante émerge : pourquoi l’Algérie a-t-elle choisi ce jour précis pour intercepter un appareil effectuant des missions routinières dans la zone ? Les éléments recueillis suggèrent une manœuvre délibérée pour protéger Iyad Ag Ghali, chef terroriste notoire et cible prioritaire des forces maliennes.

Selon des sources sécuritaires maliennes, le drone abattu le 1er avril 2025 appartenait à l’armée malienne et était déployé dans le cadre d’une mission de renseignement ciblant un regroupement de hauts cadres du JNIM, dont Iyad Ag Ghali en personne. Ce dernier, recherché par la Cour pénale internationale pour crimes contre l’humanité, était localisé près de Tinzaouatène, une zone frontalière stratégique où les groupes terroristes opèrent en toute impunité.

Pourtant, l’Algérie a affirmé avoir abattu l’appareil pour « violation de son espace aérien », sans fournir de preuves tangibles. Une explication qui suscite le doute : ce même type de drone turc Baykar Akıncı, acquis par le Mali en 2024, survole régulièrement la région sans incident. La coïncidence est troublante : pourquoi une interception ce jour-là, alors qu’une opération cruciale visant Ag Ghali était en cours ?

Depuis des années, des rapports confidentiels et des analyses d’experts soulignent les liens troubles entre Iyad Ag Ghali et les services de renseignement algériens. En 2012, des sources onusiennes révélaient déjà que le chef terroriste bénéficiait de soutiens transfrontaliers pour échapper aux frappes internationales. Jeremy Keenan, professeur à la SOAS de Londres, affirmait en 2017 : « Ag Ghali est lié aux services secrets algériens ».

Cette protection supposée expliquerait l’audace persistante du leader du JNIM, qui opère en toute impunité dans le nord du Mali malgré les mandats d’arrêt et les sanctions internationales.

L’Algérie se présente comme un acteur clé contre le terrorisme, mais ses actes contredisent ses déclarations. En décembre 2023, une opération malienne avait abouti à la neutralisation de l’émir terroriste Fagaga dans la même zone de Tinza, sans interférence algérienne. Cette réussite démontre l’efficacité malienne lorsque ses efforts ne sont pas entravés. Pourquoi, alors, avoir ciblé le drone cette fois-ci ?

En abattant un drone au moment précis où Ag Ghali était dans le viseur, l’Algérie a peut-être dévoilé son jeu : préserver l’instabilité régionale pour asseoir son hégémonie.

Le Mali, en dépit des défis sécuritaires, continue de faire preuve de résilience et de détermination dans sa lutte contre les groupes terroristes qui menacent sa stabilité et celle de la région. L'engagement sans faille de ses forces armées témoigne de la volonté du pays de restaurer la paix et la sécurité sur l'ensemble de son territoire.

Malick Doucoure - AESinfo

#AESinfo | #burkinafaso 🇧🇫
Retrouvée après 5 ans de séquestration ! La police démantèle un enlèvement glaçant

La police nationale burkinabè a annoncé aujourd'hui le dénouement heureux d'une affaire poignante : une fillette de 11 ans, enlevée il y a cinq ans devant son école, a été retrouvée saine et sauve. La femme suspectée de son enlèvement a également été interpellée.

Grâce à une dénonciation anonyme, la Division des Investigations Criminelles (DIC) a localisé la victime, identifiée par ses initiales O.D., et sa ravisseuse présumée dans une zone périphérique de Ouagadougou.

Les faits remontent au 1er octobre 2019, jour de rentrée scolaire. Alors âgée de seulement 5 ans, O.D. avait été déposée à l'école par son père. C'est lors d'une promenade que la suspecte l'aurait abordée et emmenée à son domicile à vélo. La fillette aurait été séquestrée pendant deux ans avant d'être exposée publiquement. Ce n'est qu'à l'âge de onze ans et demi que sa bourrelle présumée l'aurait inscrite à l'école primaire (CP1).

Après plus de cinq longues années de séparation, les investigations, rendues possibles grâce à la collaboration citoyenne, ont permis de réunir O.D. avec ses parents biologiques.

La Police Nationale a tenu à exprimer sa profonde gratitude envers les citoyens pour leur civisme et leur esprit de collaboration, soulignant que c'est grâce à leur engagement que cette affaire a pu être résolue. Elle encourage la population à maintenir cette vigilance et à continuer de signaler tout cas suspect via les numéros verts 17, 16 et 1010.

Source : AIB

#AESinfo | #burkinafaso 🇧🇫
Retrouvée après 5 ans de séquestration ! La police démantèle un enlèvement glaçant

La police nationale burkinabè a annoncé aujourd'hui le dénouement heureux d'une affaire poignante : une fillette de 11 ans, enlevée il y a cinq ans devant son école, a été retrouvée saine et sauve. La femme suspectée de son enlèvement a également été interpellée.

Grâce à une dénonciation anonyme, la Division des Investigations Criminelles (DIC) a localisé la victime, identifiée par ses initiales O.D., et sa ravisseuse présumée dans une zone périphérique de Ouagadougou.

Les faits remontent au 1er octobre 2019, jour de rentrée scolaire. Alors âgée de seulement 5 ans, O.D. avait été déposée à l'école par son père. C'est lors d'une promenade que la suspecte l'aurait abordée et emmenée à son domicile à vélo. La fillette aurait été séquestrée pendant deux ans avant d'être exposée publiquement. Ce n'est qu'à l'âge de onze ans et demi que sa bourrelle présumée l'aurait inscrite à l'école primaire (CP1).

Après plus de cinq longues années de séparation, les investigations, rendues possibles grâce à la collaboration citoyenne, ont permis de réunir O.D. avec ses parents biologiques.

La Police Nationale a tenu à exprimer sa profonde gratitude envers les citoyens pour leur civisme et leur esprit de collaboration, soulignant que c'est grâce à leur engagement que cette affaire a pu être résolue. Elle encourage la population à maintenir cette vigilance et à continuer de signaler tout cas suspect via les numéros verts 17, 16 et 1010.

Source : AIB

#AESinfo | 🇧🇫🇲🇱🇳🇪
🔴 #Urgent : La Confédération des États du Sahel (AES) lance une taxe de 0,5% sur les importations pour financer l'intégration régionale

Le Collège des Chefs d’État de la Confédération des États du Sahel (AES) a adopté une décision historique instituant un Prélèvement Confédéral (PC-AES) de 0,5% sur la valeur en douane des marchandises importées de pays tiers. Cette mesure vise à générer des ressources pérennes pour financer les projets d’intégration, le fonctionnement des institutions et les actions de solidarité entre les États membres.

Points clés de la décision
1️⃣ Taux et assiette:
- Le PC-AES s’applique aux marchandises importées de pays tiers, basé sur leur valeur en douane (selon les règles du GATT).
- Exclusions : produits originaires de l’AES, aides humanitaires, hydrocarbures tiers, effets personnels des voyageurs, et 15 autres catégories spécifiques (dons, réimportations, etc.).

2️⃣ Gestion des fonds :
- Les recettes sont reversées dans un compte spécial dédié à l’AES, sous contrôle des ministres des Finances.
- Utilisations prioritaires : projets d’intégration, Banque confédérale d’Investissement, dépenses de fonctionnement et solidarité régionale.

3️⃣ Modalités pratiques :
- Liquidation et recouvrement par les douanes nationales, avec reversement sous 15 jours après chaque mois.
- Audit annuel par un cabinet indépendant pour garantir la transparence.

4️⃣ Entrée en vigueur :
- La décision est effective depuis sa signature le 28 mars 2025.

Pourquoi cette taxe ?
L’AES renforce ainsi son autonomie financière pour concrétiser des projets structurants (infrastructures, sécurité, développement) tout en consolidant la coopération entre le Mali, le Burkina Faso et le Niger, fondateurs de cette Confédération.

📌 Implications : Les importateurs devront intégrer ce prélèvement dans leurs coûts, tandis que les États membres s’engagent à une gestion rigoureuse des fonds collectés. Une étape clé pour l’avenir de l’intégration sahélienne !

#AESinfo | #burkinafaso 🇧🇫
Le Président Ibrahim Traoré appelle à prier pour un Burkina de paix et de prospérité

À l'occasion de la fin du mois béni du Ramadan, le Président du Faso, le Capitaine Ibrahim Traoré, a adressé ses vœux de bonne fête de l'Aïd El Fitr à tous les fidèles musulmans du Burkina Faso.

Dans son message, il a souligné l'importance des valeurs de solidarité et de partage cultivées durant le mois de Ramadan, et a appelé à prier pour un Burkina Faso uni, en paix et prospère.

"Que l'élan de solidarité, l'esprit de partage, les prières et invocations durant cette période de pénitence renforcent davantage notre unité et consolident notre volonté commune d'un Burkina Faso de paix et de prospérité !" a déclaré le Président Traoré.

🚨La transition est partie pour 5 ans et le Général Abdourahmane Tiani sera éligible aux élections futures

❗️Kiev prévoit de mener une série d'attentats terroristes contre les missions diplomatiques russes dans les pays européens pour perturber les négociations

Selon le Service de renseignement extérieur russe, Kiev pourrait organiser des attaques terroristes en Allemagne, dans les pays baltes et en Scandinavie, en Slovaquie et en Hongrie.

TotalEnergies Accélère son Désengagement dans l'AES : Coris Investment Group Reprend les Actifs au Burkina Faso

Le groupe français TotalEnergies renforce son désengagement en Afrique de l’Ouest avec la vente de ses activités au Burkina Faso à Coris Investment Group, holding dirigée par l’homme d’affaires burkinabè Idrissa Nassa. Cette transaction, annoncée le 18 février 2025 et soumise à validation réglementaire, marque un tournant dans la reconfiguration du secteur énergétique local.

Lors d’une rencontre avec le ministre burkinabè de l’Industrie, Serge Gnaniodem Poda, Badara Mbacké, responsable du développement commercial de TotalEnergies pour l’Afrique de l’Ouest, a confirmé l’accord : « Nous informons les autorités de l’évolution de notre portefeuille et de la conclusion d’un partenariat avec Coris, un acteur majeur du Burkina Faso ». Cette opération s’inscrit dans la lignée de la cession des actifs maliens à Coly Energy en janvier 2025, où 1 109 emplois avaient été préservés.

Créé en 2019, Coris consolide son emprise économique. Après avoir dominé la finance et l’assurance (notamment via le rachat de Standard Chartered Côte d’Ivoire en 2024 et de Société Générale Tchad en 2025), le groupe obtient en 2024 une notation financière solide (A-/A2) de Bloomfield Investment. L’acquisition des actifs énergétiques de TotalEnergies lui permet désormais de contrôler des infrastructures stratégiques, renforçant son influence nationale et régionale.

Ce retrait de TotalEnergies intervient dans un paysage ouest-africain turbulent. Le Mali, le Burkina Faso et le Niger, regroupés au sein de l’Alliance des États du Sahel (AES), ont rompu leurs accords militaires avec la France et cherchent à réduire leur dépendance aux anciennes puissances coloniales. Les cessions d’actifs énergétiques à des acteurs locaux s’alignent sur cette dynamique de souveraineté économique.

SOS Terroristes : le JNIM en pleine crise existentielle face à la montée en puissance de l'AES lance un appel à l’aide… à la communauté internationale

Alors que les armées de l’AES (Alliance des États du Sahel) nettoient méthodiquement les zones infestées de terroristes, voilà que le JNIM en roue libre, sort un communiqué aussi pathétique qu’un acteur de série Z en quête de spotlight. Sous couvert de dénoncer les « crimes des juntes » et d’appeler à la « solidarité internationale », ces seigneurs de la kalachnikov nous offrent un chef-d’œuvre d’hypocrisie, relayé avec délice par France 24 chaîne qui, décidément, préfère le rôle de mégaphone à celui de journaliste.

« Dénonçons les crimes des juntes ! », clame le communiqué. Traduction : « Aidez-nous, les gentils terroristes, à combattre ces méchants militaires qui osent… nous chasser des villages où nous égorgions des civils ! ». Le culot est vertigineux. Après des années de massacres, de pillages et d’esclavagisme au nom d’un islam défiguré, le JNIM se découvre une âme de militant des droits humains. « Regardez ces méchants soldats maliens qui nous empêchent de brûler des écoles ! », semblent-ils geindre. La prochaine étape ? Une pétition sur http://Change.org pour exiger le droit de poser des bombes en toute tranquillité.

Merci à l'essoreuse médiatique des groupes terroristes du nom de Wassim Nasr, le « spécialiste » de France 24, d’avoir offert une tribune à ce tissu de contre-vérités. La chaîne française, qui a perdu son accréditation au Mali pour cause de journalisme créatif, recycle désormais les communiqués du JNIM comme d’autres recyclent le plastique. « Neutralité journalistique », disent-ils ? Plutôt « complicité passive » avec des groupes qui, rappelons-le, ont fait de la décapitation un sport régional. France 24, en quête d’audience, préfère visiblement le storytelling terroriste aux reportages sur les écoles rouvertes grâce à l’AES.

Depuis que le Mali, le Niger et le Burkina Faso ont joint leurs forces, le JNIM ne sait plus où donner de la tête. Les frappes coordonnées, les patrouilles transfrontalières et les populations désormais armées contre eux ont transformé les émirs du désert en lapins traqués. Plus de sanctuaires intouchables, plus de forces étrangères pour tempérer les frappes, plus d’accords tacites : les terroristes sont pourchassés comme jamais. Résultat : leur « appel à la communauté internationale » ressemble à un SMS de détresse envoyé depuis une grotte sans réseau. « Aidez-nous, ils nous pourchassent ! » mais qui donc pleurerait sur le sort de ceux qui ont fait du Sahel un champ de ruines ?
Quand les terroristes en viennent à supplier, c’est que le vent a tourné.

Le JNIM en appelle à l’ONU, à l’Union africaine, et même « aux ethnies » comme si les Peuls, les Dogons ou les Touaregs allaient oublier les charniers pour tendre l’oreille à leurs bourreaux. La vérité ? Les Sahéliens ont choisi leur camp : celui des armées nationales.

Aboubacar Ouedraogo - AESinfo

Mobilisation Record de 2 700 Milliards de Francs CFA en 2024 - Une Hausse de 200 Milliards

Le ministère de l'Économie et des Finances du Burkina Faso a annoncé avoir mobilisé 2 700 milliards de francs CFA (4,3 milliards $) de ressources en 2024, soit un taux de réalisation de 93 %. Cette performance représente une progression de 200 milliards de francs CFA par rapport à l'année précédente, témoignant d'une dynamique positive dans la gestion des finances publiques. L'information a été rendue publique dans une note officielle publiée le vendredi 14 février 2024.

Selon le ministre des Finances, Aboubakar Nacanabo, cette mobilisation accrue des ressources est le résultat d'une amélioration de l'efficacité des services fiscaux et douaniers, ainsi que d'une rationalisation des dépenses publiques. Il a également souligné que son département a réussi à collecter plus de 170 milliards FCFA pour le Fonds de soutien patriotique, dépassant largement l'objectif révisé de 150 milliards FCFA, atteignant ainsi un taux de réalisation de 117 %.

Cette enveloppe financière considérable devrait permettre au gouvernement burkinabé de renforcer ses efforts en matière de développement économique et social, notamment dans les secteurs de la sécurité, des infrastructures et des services publics essentiels. Toutefois, des défis subsistent quant à la diversification des sources de financement et à la gestion efficace des fonds pour garantir une croissance soutenue et inclusive.

Une délégation des Forces Armées Royales marocaines, conduite par le Général de Brigade Abdelghani MOUHIB, a été accueillie le lundi 17 février 2025 au Ministère de la Défense et des Anciens Combattants du Mali.#Mali

#AESinfo | 🇧🇫🇲🇱🇳🇪
COMMUNIQUÉ OFFICIEL : Lancement des Passeports de la Confédération des États du Sahel (AES) pour une Circulation Libre et Facilitée

La Confédération des États du Sahel (AES) a annoncé la mise en circulation de ses nouveaux passeports à compter du 29 janvier 2025. Cette initiative, annoncée par le Président de la Confédération, le Général d'Armée Assimi GOITA, s'inscrit dans le cadre de la feuille de route de l'AES visant à renforcer la coopération entre les États membres.

Ce nouveau passeport permettra aux citoyens de l'AES de circuler plus aisément au sein de l'espace confédéral. Il est important de noter que les anciens passeports restent valables jusqu'à leur date d'expiration, offrant ainsi une transition en douceur pour les détenteurs.

Par ailleurs, un dispositif spécifique est mis en place pour les citoyens de la Confédération AES qui possèdent encore les anciens passeports arborant le logo de la CEDEAO et qui sont toujours en cours de validité. Ils auront la possibilité de les remplacer par les nouveaux passeports de l'AES, conformément aux réglementations en vigueur. Cette mesure vise à assurer une harmonisation progressive des documents de voyage et à renforcer l'identité de la Confédération.

Le Président Assimi GOITA a tenu à rassurer les populations de l'espace confédéral, soulignant que toutes les mesures nécessaires seront prises pour garantir l'effectivité de la libre circulation des personnes et des biens. Cette annonce marque une étape importante dans le développement de l'AES et témoigne de la volonté des États membres de favoriser l'intégration régionale et les échanges entre leurs citoyens.

#AESinfo | #Mali 🇲🇱
La Justice Malienne Recouvre Plus de 400 Milliards FCFA en 2024 et Saisit des Biens pour 166 Milliards en Début 2025

Lors d'un déjeuner de presse organisé dans le cadre de la 3ème édition de la Semaine de la Justice, le ministre de la Justice et des Droits de l’Homme, Mamoudou Kassogué, a annoncé des résultats financiers significatifs pour l'année 2024 et le début de l'année 2025. La justice malienne a joué un rôle crucial dans le recouvrement de plus de 400 milliards de FCFA et a procédé à des saisies de biens d'une valeur estimée à 166 milliards FCFA depuis le début de 2025.

Le ministre a présenté un bilan des activités de son département pour l'année 2024, soulignant les avancées en matière de réformes, notamment l'opérationnalisation de plusieurs entités clés :

• Le Pôle National Économique et Financier ;
• Le Pôle National de lutte contre la Cybercriminalité ;
• Le Parquet Spécialisé du Pôle Judiciaire Spécialisé de lutte contre le Terrorisme et la Criminalité Transnationale organisée ;
• L’Agence de Recouvrement et de Gestion des Avoirs Saisis ou Confisqués ;
• La Direction Nationale des Droits de l’Homme ;
• L’École Nationale de l’Administration Pénitentiaire et de l’Éducation Surveillée.

M. Kassogué a également mis en lumière la contribution majeure de la justice au recouvrement de fonds dans le cadre du Programme National d’Éducation Financière (PNEF). Dans le secteur minier, la justice a permis le paiement de 150 milliards FCFA sur un total de 325 milliards convenus, grâce à une procédure incluant sept chèques payés au Receveur Général du District de Bamako et un jugement homologué.

En outre, le ministre a annoncé la saisie, depuis le début de l'année 2025, de biens d'une valeur estimée à 166 milliards FCFA. Au niveau des Cabinets d’instruction, un montant de plus de 3,599 milliards FCFA a été recouvré, ainsi que l'inscription de propriété portant sur deux Titres Fonciers (TF) et un Centre Hospitalier Universitaire (CHU) d’une valeur de 439,750 millions de FCFA.

Le ministre a souligné l'impact positif du PNEF sur l'amélioration des recettes des différents services de l'État en fin d'année.

À la Une: à quand le retour à l’ordre constitutionnel au Mali? https://rfi.my/BLWa.x

#AESinfo | #Mali 🇲🇱
🔴 #Urgent
Crise diplomatique ouverte entre le Mali et l'Algérie : Bamako accuse Alger de soutenir le terrorisme et d'ingérence

Le Ministère des Affaires étrangères et de la Coopération internationale du Mali a vivement réagi aux propos du Ministre d'État, Ministre des Affaires étrangères de la République Algérienne Démocratique et Populaire, concernant la stratégie malienne de lutte contre le terrorisme. Dans un communiqué officiel, le Mali exprime sa "profonde stupeur" face à ces déclarations et dénonce une "ingérence" de l'Algérie dans ses affaires intérieures.

Le gouvernement malien rappelle un précédent communiqué (n°064 du 25 janvier 2024) où il dénonçait déjà la "proximité et la complicité" de l'Algérie avec les groupes terroristes qui déstabilisent le Mali, accusant l'Algérie de leur offrir "le gîte et le couvert" et de contrôler leurs actions criminelles. Selon le Mali, les succès de ses forces armées et de sécurité contre ces groupes, soutenus par l'Algérie, suscitent des réactions négatives de la part de certains responsables algériens.

Le Ministère malien des Affaires étrangères condamne fermement cette nouvelle ingérence et souligne que les options stratégiques pour lutter contre les groupes armés terroristes relèvent exclusivement de la souveraineté du Mali et des choix de la Confédération des États du Sahel (AES). Il affirme n'avoir de leçons à recevoir de l'Algérie en matière de lutte contre le terrorisme, rappelant que le Mali a mené sa propre lutte "en toute souveraineté".

AESinfo | #niger 🇳🇪
Neutralisation d'un terroriste et arrestation de plusieurs complices par l'armée

L'armée nigérienne a annoncé avoir neutralisé un terroriste et interpellé plus d'une dizaine d'autres individus lors d'opérations menées dans l'ouest du pays, précisément dans les zones de Mossipaka et d'Ayorou. Ces opérations s'inscrivent dans le cadre des efforts continus des forces de sécurité pour contrer la menace terroriste dans la région.

Parallèlement à ces actions, les forces armées ont également procédé à l'arrestation de quatre trafiquants soupçonnés d'être liés à un réseau logistique soutenant les groupes armés opérant dans la zone. Ces arrestations pourraient permettre de démanteler des filières d'approvisionnement essentielles pour ces groupes.

Image d'illustration

Analyse des Malversations Financières à l'AGEFAU : L'Implicite Responsabilité de Choguel Maïga

Le 30 décembre dernier, un rapport accablant du Bureau du Vérificateur Général (BVG) plongeait le Mali dans une nouvelle controverse. Au cœur de cette tourmente, l’Agence de Gestion du Fonds d’Accès Universel (AGEFAU), créée pour promouvoir l’accès universel aux télécommunications et aux technologies de l’information. L’ancien Premier ministre Choguel Maïga, en sa qualité de Président du Conseil d’Administration (PCA) de l’AGEFAU entre 2020 et 2023, est pointé du doigt pour avoir, par son inaction ou sa complicité implicite, permis des malversations financières d’une ampleur préoccupante.

Dans sa fonction de PCA, Choguel Maïga portait la responsabilité ultime de la supervision stratégique et financière de l’AGEFAU. Son rôle n’était pas simplement honorifique : il devait garantir une gestion rigoureuse et veiller à ce que les ressources publiques soient utilisées exclusivement pour leur mission originelle, à savoir combler la fracture numérique. Mais le rapport révèle une tout autre réalité. Des décisions validées sous sa présidence ont non seulement compromis cette noble mission, mais aussi causé des pertes financières massives.

Parmi les irrégularités majeures, un prêt de 20 milliards de FCFA octroyé au Trésor Public en 2020 figure en bonne place. Officiellement, ces fonds devaient financer des dépenses liées à la lutte contre la COVID-19. En pratique, ils furent détournés pour payer des salaires des fonctionnaires, une dépense totalement étrangère aux objectifs de l’AGEFAU. Bien que Choguel Maïga n’ait pas initié cette demande, il l’a approuvée, créant un précédent dangereux pour une institution censée rester indépendante. Ce prêt, jamais remboursé, représente une perte colossale pour l’Agence et un détournement de ses priorités essentielles.

À cette affaire s’ajoutent les fameuses « dépenses de souveraineté ». Ces montants, non prévus au budget, furent attribués lors de missions officielles, sous des motifs difficilement justifiables. Lors d’une mission d’un jour à Konobougou, par exemple, 15 millions de FCFA furent versés au lieu des 75 000 FCFA réglementaires. Pour une autre mission de deux jours, 20 millions de FCFA furent déboursés, alors que seuls 150 000 FCFA auraient dû être alloués. Ces dépenses répétées, bien que présentées comme exceptionnelles, trahissent une gestion laxiste et une tolérance évidente de la part du PCA.

Le rapport du BVG met également en lumière des marchés publics attribués à des prix largement surfacturés. Qu’il s’agisse de véhicules ou d’équipements, les montants approuvés par le Conseil d’Administration sous la présidence de Choguel Maïga dépassaient de loin les mercuriales officielles. Ces transactions, qui ont coûté à l’AGEFAU près de 58 millions de FCFA, témoignent d’un système où les règles de transparence étaient manifestement négligées.

Face à ces faits, deux hypothèses émergent quant à l’attitude de Choguel Maïga. La première suggère une couverture passive : il aurait sciemment ignoré les dérives pour préserver un équilibre politique ou personnel. La seconde, plus grave, suppose une participation indirecte à ces pratiques, avec des bénéfices potentiels. Si le rapport ne fournit pas de preuves directes d’enrichissement personnel, l’ampleur des irrégularités soulève des soupçons légitimes.

Analyse faite par Aboubacar Ouedraogo pour AESinfo

#AESinfo | #burkinafaso 🇧🇫
Renforcement de la Sécurité : Trois Nouveaux Bataillons d'Intervention Rapide Créés par le Président Ibrahim Traoré

Dans le cadre de la lutte contre le terrorisme, le président du Faso, le Capitaine Ibrahim Traoré, a annoncé ce jeudi la création de trois nouveaux Bataillons d’Intervention Rapide (BIR). Ces unités stratégiquement déployées seront basées à Arbinda (Soum, Nord), à Ougarou (Gourma, Est) et à Diapaga (Tapoa, Est).

Source : Agence d’Information du Burkina

CoLDEFF : Une lutte acharnée contre la délinquance financière au Niger - Plus de 57 milliards de FCFA recouvrés.

La Commission de Lutte contre la Délinquance Financière et Fiscale (CoLDEFF) au Niger intensifie ses efforts pour recouvrer les fonds détournés et lutter contre la corruption. Les chiffres parlent d'eux-mêmes : après avoir annoncé des recouvrements de plus de 12 milliards de FCFA en février 2023, puis 25 milliards en mars 2024 et plus de 42 milliards en avril 2024, le bilan global au 1er décembre 2024 atteint un montant impressionnant de 57.150.983.691 FCFA. Cette somme se détaille en 35.895.425.525 FCFA de versements en espèces et virements bancaires, 4.065.270.397 FCFA de dations en paiement et 17.190.287.769 FCFA de transactions par échéances de règlement.

Source : CoLDEFF

Les Douanes Dépassent les Objectifs et Encaissent un Bonus de 71,4 Milliards FCFA !

Au Mali, l'année 2024 s'est avérée exceptionnelle pour les douanes, avec une performance qui dépasse largement les attentes. Au 31 décembre 2024 à minuit, le bilan des recettes douanières affichait un montant impressionnant de 866 milliards 462 millions FCFA, pulvérisant la prévision initiale de 795 milliards FCFA. Cette performance remarquable représente un taux de réalisation de 108,99%, générant un excédent considérable de 71,4 milliards FCFA.

Cette manne financière est le fruit d'une contribution significative de deux principaux secteurs. Les produits pétroliers ont généré 260,2 milliards FCFA, dépassant la prévision de 240 milliards et enregistrant un bonus de 20,2 milliards. Quant aux marchandises solides, elles ont contribué à hauteur de 606,1 milliards FCFA, excédant également la prévision de 555 milliards et ajoutant 51,1 milliards aux caisses de l'État.

Ainsi, les données comptables provisoires confirment un excédent de recettes de 71,4 milliards FCFA pour la Direction Générale des Douanes en 2024. Cette réussite est attribuée à l'Inspecteur Général Amadou Konaté, qui a mené une année riche en défis relevés. Outre la mobilisation des ressources budgétaires, l'année a été marquée par des saisies records dans la lutte contre la fraude et la mise en œuvre de 35 réformes.

Le Directeur Général des Douanes a également brillé sur la scène internationale, occupant le poste de Vice-Président de la région Afrique de l’Ouest et du Centre de l’Organisation Mondiale des Douanes. Il s'est activement impliqué dans la concrétisation de la libre circulation au sein de la Confédération de l’AES, notamment par l'harmonisation des procédures douanières et la perspective de créer une union douanière.

Forts de ce succès en 2024, les douaniers maliens abordent les nouveaux défis de 2025 avec sérénité et une détermination accrue.

Source : Douanes Maliennes

Le Nigeria tend la main au Niger : Invitation au dialogue pour désamorcer les tensions

Le gouvernement fédéral du Nigeria a exprimé son ouverture à un dialogue constructif avec les dirigeants du Niger dans le but de désamorcer les tensions diplomatiques qui se sont intensifiées entre les deux nations voisines.

Dans un communiqué diffusé mardi, le ministre des Affaires étrangères, l’ambassadeur Yusuf Tuggar, a réaffirmé l’engagement du Nigeria en faveur de la paix et de la stabilité en Afrique de l’Ouest. Il a plaidé pour des discussions « franches » afin d’aborder les préoccupations mutuelles soulevées par le président CNSP, chef de l'État du Niger, le général Abdourahman Tiani.

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🔴 #Urgent
Crise diplomatique ouverte entre le Mali et l'Algérie : Bamako accuse Alger de soutenir le terrorisme et d'ingérence

Le Ministère des Affaires étrangères et de la Coopération internationale du Mali a vivement réagi aux propos du Ministre d'État, Ministre des Affaires étrangères de la République Algérienne Démocratique et Populaire, concernant la stratégie malienne de lutte contre le terrorisme. Dans un communiqué officiel, le Mali exprime sa "profonde stupeur" face à ces déclarations et dénonce une "ingérence" de l'Algérie dans ses affaires intérieures.

Le gouvernement malien rappelle un précédent communiqué (n°064 du 25 janvier 2024) où il dénonçait déjà la "proximité et la complicité" de l'Algérie avec les groupes terroristes qui déstabilisent le Mali, accusant l'Algérie de leur offrir "le gîte et le couvert" et de contrôler leurs actions criminelles. Selon le Mali, les succès de ses forces armées et de sécurité contre ces groupes, soutenus par l'Algérie, suscitent des réactions négatives de la part de certains responsables algériens.

Le Ministère malien des Affaires étrangères condamne fermement cette nouvelle ingérence et souligne que les options stratégiques pour lutter contre les groupes armés terroristes relèvent exclusivement de la souveraineté du Mali et des choix de la Confédération des États du Sahel (AES). Il affirme n'avoir de leçons à recevoir de l'Algérie en matière de lutte contre le terrorisme, rappelant que le Mali a mené sa propre lutte "en toute souveraineté".

Le communiqué invite l'Algérie à se concentrer sur ses propres crises internes, y compris la question kabyle, et à cesser d'instrumentaliser le Mali pour son positionnement international. Face à la "sympathie non dissimulée" des autorités algériennes envers les groupes terroristes, le Mali réitère son opposition à toute implication de l'Algérie dans ses affaires intérieures et refuse toute stratégie de "pompier-pyromane".

Le Mali réaffirme sa détermination, aux côtés du Burkina Faso et du Niger au sein de la Confédération AES, à éradiquer le terrorisme sous toutes ses formes.

Source :
@MaliMaeci

Tidjane Thiam promet la réconciliation de la Côte d'Ivoire avec le Mali, le Niger et le Burkina Faso s'il est élu en 2025

Le président du Parti démocratique de Côte d'Ivoire (PDCI), Tidjane Thiam, a annoncé son intention de réconcilier la Côte d'Ivoire avec les pays de la Confédération des États du Sahel (AES), à savoir le Mali, le Niger et le Burkina Faso, s'il remporte l'élection présidentielle de 2025.

« Nous voulons une Côte d'Ivoire en paix à l'intérieur de ses frontières et en paix avec ses voisins », a déclaré M. Thiam. « La préservation de relations fraternelles, respectueuses et apaisées avec l'ensemble des pays de notre espace, et en particulier avec ceux qui nous entourent, est indispensable... »

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Choguel Maïga accusé de malversations dans un rapport officiel

L’ancien Premier ministre malien, Choguel Maïga, est pointé du doigt pour avoir couvert ou tiré profit de malversations dans la gestion de l’Agence de gestion du Fonds d’accès universel entre 2020 et 2023. Ces graves accusations figurent dans un rapport publié le lundi 30 décembre par le Bureau du vérificateur général, l’institution en charge du contrôle des dépenses publiques.

Source : TRT Afrika