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Communiqué Algérien : Une Pantalonnade Ridicule d’un État Terroriste Envenimant la Région

L’Algérie, sous couvert de légitime défense, vient une fois de plus de dévoiler son vrai visage : celui d’un État voyou, semant le chaos chez ses voisins. Son dernier communiqué, prétendant avoir abattu le drone malien pour violation d’espace aérien, est une mascarade indigne d’une nation se targuant de stabilité.

Les « preuves » algériennes, soi-disant stockées dans des "bases de données secrètes", se heurtent à une réalité géographique implacable : l’épave du drone gît à 9,5 km au sud de la frontière malo-algérienne, selon les coordonnées publiées par Bamako. Comment un appareil ayant « pénétré 1,6 km » en Algérie pourrait-il finir en chute libre… au Mali ? L’absurdité de l’argumentaire d’Alger confine au ridicule, d’autant que le régime refuse toujours de partager ses données, malgré les demandes répétées du Mali.

Cette affaire n’est qu’un épisode de plus dans la longue liste des agressions algériennes. Rappelons-le :
- Avec le Maroc, l’Algérie alimente depuis des décennies le conflit du Sahara Occidental, armant le Polisario et sabotant toute initiative de paix.
- En Libye, elle est accusée de soutenir militairement des milices, contribuant à l’instabilité chronique du pays.
- Au Mali et au Niger, son double jeu est éclatant : tout en se présentant comme médiateur, Alger servirait de sanctuaire à des groupes terroristes, selon les accusations de Bamako.

La destruction du drone malien, intervenant alors que ce dernier traquait des terroristes à Tinzawatène, révèle une stratégie calculée : protéger ses proxies terroristes tout en asphyxiant les efforts sécuritaires maliens. Une méthode déjà éprouvée en Libye, où les milices « amies » d’Alger bénéficient d’une impunité régionale.

Le gouvernement algérien, drapé dans son communiqué aussi creux qu’arrogant, ose invoquer la réciprocité en rappelant ses ambassadeurs. Une pantomime diplomatique pour masquer son rôle de pyromane. La « fraternité » affichée avec le Mali sonne comme une insulte, quand on sait qu’Alger n’a cessé de miner la transition malienne, préférant la fragmentation du Sahel à son émergence.

Ridicule sur la forme, dangereuse sur le fond, la réponse algérienne confirme une vérité crue : Alger, en état de déliquescence politique, exporte son chaos bien au-delà de ses frontières. Le Sahel mérite mieux qu’un voisin pyromane érigeant le terrorisme en instrument de pouvoir.

Malick Doucoure - AESinfo

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