🔴 🇰🇷 #ALERTE | Coup d'Etat en Corée du Sud ? Défilez le tweet pour comprendre la situation. 👇
Le président sud-coréen Yoon introduit la loi martiale, pour protéger le pays des "forces communistes" proches de la Corée du Nord, qui menacent "l'ordre constitutionnel libre". Des espions nord-coréens auraient infiltré l'armée et le gouvernement. La suite ci-dessous
🔻 Le point sur la situation : Les législateurs et fonctionnaires coréens ne sont pas autorisés à entrer au parlement coréen. Les sorties sont également bloquées par la police (vidéo 4). Les émeutiers et autres fauteurs de trouble pourraient être arrêtés sans mandat. Les médias sont placés sous contrôle gouvernemental. Les rassemblements, manifestations et toute autre forme de protestation, sont également interdits.
🪖 Le ministre de la défense ordonne une réunion d'urgence des principaux commandants de toutes les forces militaires pour renforcer l'alerte et la préparation de l'armée aux situations d'urgence. Le général Park-An-soo a été nommé commandant de la loi martiale. Les opposants craignent que l'armée arrete des députés de l'opposition.
📌Contexte : L’événement s'inscrit dans le contexte d'un bras de fer avec l'opposition qui souhaite renverser le président, et d'une grève des médecins, qui dure depuis plusieurs mois. La loi martiale n'est probablement pas liée à la Corée du Nord, bien que cet État ait une longue tradition de déstabilisation de son voisin du sud, elle relèverait plus d'une question de politique interne, et la Corée du Nord pourrait profiter d'un éventuel chaos politique pour instrumentaliser des forces d'opposition, tombés sous le joug de nombreux espions communistes selon le président sud-coréen.
🗨️ Le président sud-coréen a déclaré : « Notre Assemblée nationale est devenue un refuge de criminels, un repaire de dictature législative qui cherche à paralyser les systèmes administratif (...) avec des forces aux sympathies pour la Corée du Nord et hostiles à l'État ayant l'intention de renverser le régime. »
🗞️ Pour anticiper les réactions médiatiques : Les puristes de l'idéologie du politiquement correct crieront à un « coup d'État atlantiste fomenté dans le sillage de la réélection de Trump » alors que même les États-Unis n'ont pas encore pris position", tandis que les observateurs objectifs parleront d'une restructuration et d'une réforme légale et constitutionnelle, justifiée par le principe de la primauté de la sécurité nationale, face à un État communiste belliqueux comme la Corée du Nord.